Chirac l'avait dit après le décès de Seguin : "le plus honnête d'entre nous viens de nous quitter". Ce jour là, jamais Chirac n'avait été aussi honnête.
Espérant que la France ne s'égare pas trop dans le choix de l'autre, on ne va quand même pas bouder le plaisir de l'élimination promise (enfin une promesse tenue ?) de celui là...