Les familles de victime comprendront-elles un jour la souffrance du lecteur anonyme qui, à peine sorti du lit, découvre avec effroi le navrant jeu de mots qui barre sauvagement son journal ? Qui dans ce pays dénombrera les malheureux otages de Libé, de Charlivarol Hebdo et de Plantu ? Alors, familles de victime un peu de retenu !